Après un week-end froid en suisse alémanique avec des résultats mitigés, nous voilà de retour au stade de Richemont pour le quart de finale de la Coupe de Suisse contre Grasshopper. Le soleil est au rendez-vous et le public nombreux.

Nous avons un avantage psychologique vu que nous nous sommes imposés (4-2) la semaine d’avant chez eux, à Zürich.

Nous entrons sur le terrain accompagnés par les Juniors D (et ouais, comme les footballeurs à la télé!). Les jeunes champions suisses nous ont aussi accompagnés pour la tortue. Ca promet pour la relève, mais pour le moment c’est à nous de jouer !

On fait un superbe début de match qui permet même à Matthieu d’ouvrir le score en moins d’une minute! On continue à attaquer mais la balle a du mal à finir au fond du goal zurichois. Après deux PC ratés, Laurent met finalement le deuxième but en PC avec une déviation en poteau rentrant. Servette continue à attaquer mais n’arrive pas à marquer avant la mi-temps.

Pendant la mi-temps, Pierre nous montre ce qui ne va pas et à quoi on doit faire attention, 2-0 ce n’est pas assez! On s’encourage, puis c’est reparti pour 35 minutes de jeu.

Le début de la deuxième mi-temps est moins bon et assez vite, Grasshopper arrive à marquer un but avec beaucoup de chance. Mais ce n’est pas fini, Servette se reprend et créer des occasions qui ont malheureusement du mal à finir au fond. Gareth reçoit la balle devant le goal et n’aura plus qu’à déposer la balle dans le but. Servette continue à attaquer et obtient un PC que Matthieu mettra sans trop de problèmes au fond du but. Un peu plus tard, Philou rentre dans le cercle, shoot et Gareth «vole» le but de Philou en la touchant de justesse avant qu’elle rentre. (Philou lui-même ne sait pas si elle rentrait… Gareth est pardonné…)

Le coup de sifflet final est sifflé et Servette s’impose donc (5-1). On fini donc ce match sur un score plutôt agréable, mais il faudra travailler dur cette semaine pour pouvoir accueillir sans problèmes Luzerner SC, ce dimanche chez nous pour le dernier match avant la saison de salle.

Remco Kayser