Journal Avril 2006
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Bien que la semaine précédant ce match, Servette l’avait emporté 3 – 2, l’équipe n’a pas su garder le niveau qu’elle avait démontré contre Olten HC ou cette même équipe. Certains parleront de malchance, critiqueront la finition dans le cercle, je dirais plutôt: problème de mentalité. Nous avions tout pour pouvoir les dominer de bout en bout, mais les joueurs n’étaient pas prêts dans leurs têtes et cela c’est remarqué sur le terrain.
Après trois défaites d’affilée en championnat (Lucerne, Rotweiss Wettingen et Olten), Servette s’impose face à Stade Lausanne lors des quarts de finale de la coupe suisse. Une victoire qui fait du bien.
Performance solide de la part du Servette pour le compte du 6ème tours du championnat suisse à l’extérieur contre Olten leader du championnat. Malheureusement, comme pour les deux dernières rencontres l’équipe n’est pas récompensée de ses efforts.
Auteurs d’une performance remarquable face au champion suisse en titre, les Grenats subissent un arbitrage extraordinairement mauvais et voient s’éteindre leurs espoirs de victoire.
Quelle grosse déception… Eh oui, toute l’équipe se réjouissait d’affronter Didier Zumbach, a.k.a. Monsieur 100% (je vous renvoie aux anciens articles de la TdG pour savoir de quoi il en retourne, ou bien demandez-le à un joueur de la première qui se fera certainement un plaisir de vous expliquer d’où vient ce surnom), et son équipe de gais Lausannois. Malheureusement, notre ancien entraîneur et coach nous annonce quelques jours avant le match qu’il ne sera pas présent pour cette rencontre de coupe tant attendue ! C’est donc la mort dans l’âme que nous nous mettons en route dimanche matin pour cette rencontre qui n’a définitivement plus la même saveur. Mais très vite Michelle nous remet les idées en place et nous réveille pour cette partie qui, si elle paraît déséquilibrée sur le papier, représente la partie piège par excellence !
Après une performance décevante la veille, l'équipe ne pouvait penser qu'à une chose: montrer qu'elle était capable de réagir et d'assumer son rôle de grande équipe. La nouvelle de la blessure de Thierry (fracture du doigt), une fois le choc passé, ne faisait que souligner les responsabilités que chacun devait prendre.